jeudi 31 juillet 2008
And then they were four.
Giles, Giles and Fripp - Digging my lawn (b) (The Brondesbury tapes,1968 ; 2002).
Au commencement, 2 frères, Peter (basse, chant) et Michael (batterie) Giles, qui souhaitent monter un groupe. Nous sommes en 1967. Recherchant un clavier, ils recrutent Robert Fripp (guitare) suite à une petite annonce. Quelques mois plus tard, le trio s'enrichit de Ian McDonald (flute, saxo).
Ultérieurement, Greg Lake est recruté pour remplacer Peter Giles.
"The Brondesbury tapes" reprend les maquettes enregistrées par les frères Giles et Fripp, rejoint par McDonald, travail qui donna lieu à un album 'Giles, Giles and Fripp' en 1968 (The cheerful insanity) et correspond aux prémices de King Crimson, quand bien même ces enregistrements sont enjoués alors que la musique de KC est plutôt sombre.
Au commencement, 2 frères, Peter (basse, chant) et Michael (batterie) Giles, qui souhaitent monter un groupe. Nous sommes en 1967. Recherchant un clavier, ils recrutent Robert Fripp (guitare) suite à une petite annonce. Quelques mois plus tard, le trio s'enrichit de Ian McDonald (flute, saxo).
Ultérieurement, Greg Lake est recruté pour remplacer Peter Giles.
"The Brondesbury tapes" reprend les maquettes enregistrées par les frères Giles et Fripp, rejoint par McDonald, travail qui donna lieu à un album 'Giles, Giles and Fripp' en 1968 (The cheerful insanity) et correspond aux prémices de King Crimson, quand bien même ces enregistrements sont enjoués alors que la musique de KC est plutôt sombre.
Libellés :
Giles Giles and Fripp,
King Crimson,
McDonald and Giles,
Robert Fripp
activia et danacol sont dans un bateau.
"Et même en cherchant bien,
on trouve des yaourts à rien."
Anne Sylvestre - les yaourts à tout (Fabulettes pour écouter et regarder, 2006).
Une compilation de fabulettes (chansons pour enfants), avec un DVD animé par Claude Jacquin.
Info (cliquez-moi).
on trouve des yaourts à rien."
Anne Sylvestre - les yaourts à tout (Fabulettes pour écouter et regarder, 2006).
Une compilation de fabulettes (chansons pour enfants), avec un DVD animé par Claude Jacquin.
Info (cliquez-moi).
Cheval gazeux.
Sparklehorse - King of nails (It's a wonderful life, 2001).
Info (cliquez-moi).
Et une critique juste (cliquez-là).
Bonus pour jeunes parents : Gold day (même source).
Info (cliquez-moi).
Et une critique juste (cliquez-là).
Bonus pour jeunes parents : Gold day (même source).
vendredi 18 juillet 2008
Sorcier hongrois.
jeudi 17 juillet 2008
It's your face I'm looking for on every street...
Dire Straits - On every street (Je ne sais où, mais en 1992).
Version originale sur l'album éponyme (1991).
Version originale sur l'album éponyme (1991).
Touristes japonais.

Gato Libre - In Krakow, in november (Nomad, 2006).
Live à Leeds le 26 février 2008.
Un peu d'info (cliquez-moi).
Minimalisme.
Sigur Ros - Agaetys Byrjun (Londres, le 24 octobre 2007).
Version originale sur l'album du même nom, 1999.
Info (cliquez-moi).
Version originale sur l'album du même nom, 1999.
Info (cliquez-moi).
The bell gets louder.
Pink Floyd - High hopes (New York, le 11 juin 1994).
Extrait de "The Division Bell" (1994).
Extrait de "The Division Bell" (1994).
mardi 15 juillet 2008
Piano.
Thelonious Monk - I'm confessin' (that I love you).
Trouvé sur une compilation de reprises solo de standards, qui couvre les années 63 à 67. Vient à l'origine de l'album "solo" (1964).
Trouvé sur une compilation de reprises solo de standards, qui couvre les années 63 à 67. Vient à l'origine de l'album "solo" (1964).
lundi 14 juillet 2008
dimanche 13 juillet 2008
Drôle de vie.
Jeff Buckley - Yard of blond girls (Sketches for My sweetheart the drunk, 1998).
Un soir de mai 1997, Jeff Buckley, 30 ans, dont le premier album ("Grace") a été très remarqué, se baigne dans le Mississipi. Apparemment surpris par le passage d'un bateau, il s'y noie, la veille d'entamer l'enregistrement de son deuxième album, My sweetheart the drunk.
Sa mère, déjà veuve d'une rock star morte d'overdose à 28 ans (Tim Buckley), accepte finalement la publication des maquettes de ce second album, issues d'une session précédente qui ne l'avait pas satisfait (d'où provient Yard of blond girls), ou enregistrées "à la maison". Par la suite, une dizaine d'albums seront publiés, exploitant le mythe naissant.
Bonus : interprétation live de Grace (éponyme, 1994).
Un soir de mai 1997, Jeff Buckley, 30 ans, dont le premier album ("Grace") a été très remarqué, se baigne dans le Mississipi. Apparemment surpris par le passage d'un bateau, il s'y noie, la veille d'entamer l'enregistrement de son deuxième album, My sweetheart the drunk.
Sa mère, déjà veuve d'une rock star morte d'overdose à 28 ans (Tim Buckley), accepte finalement la publication des maquettes de ce second album, issues d'une session précédente qui ne l'avait pas satisfait (d'où provient Yard of blond girls), ou enregistrées "à la maison". Par la suite, une dizaine d'albums seront publiés, exploitant le mythe naissant.
Bonus : interprétation live de Grace (éponyme, 1994).
samedi 12 juillet 2008
Ange déchu.
Lors du premier concert de la nouvelle mouture du groupe, le 13 octobre 1972, King Crimson se livre à une improvisation à partir d'un thème de Robert Fripp (les musiciens jouent ensemble depuis quelques jours):
Puis plus rien. Jusqu'à la résurgence sur Red (1974), troisième et dernier album de cette incarnation du roi pourpre, sous le titre "Fallen angel" :
L'impro est disponible sur le "Live at the Zoom Club, October 13, 1972" chez DGM.
Puis plus rien. Jusqu'à la résurgence sur Red (1974), troisième et dernier album de cette incarnation du roi pourpre, sous le titre "Fallen angel" :
L'impro est disponible sur le "Live at the Zoom Club, October 13, 1972" chez DGM.
Bang Bang!
Gabor Szabo - Bang bang (Spellbinder, 1966).
Une chanson écrite par Sonny Bono pour Cher, reprise aussitôt par Nancy Sinatra (version connue grâce à Kill Bill de Quentin Tarentino), et toujours la même année par Gabor Szabo, un guitariste hongrois refugié aux Etats Unis.
Bonus : un petit solo de guitare.
Une chanson écrite par Sonny Bono pour Cher, reprise aussitôt par Nancy Sinatra (version connue grâce à Kill Bill de Quentin Tarentino), et toujours la même année par Gabor Szabo, un guitariste hongrois refugié aux Etats Unis.
Bonus : un petit solo de guitare.
Les maisons de lego...
Kent - Nouba (éponyme, 1996). Un album qui reflétait l'air du temps.
Bonus : La haine est là (même source).
T'es là, ça y est, t'es là, je te connais déjà.
Par ici et par là, je t'ai vue au combat.
T'es là, ça y est, t'es là. A qui la faute ? A quoi ?
Pourquoi c'est pas l'amour ? Pourquoi c'est encore toi?
Tu es là, ça y est, tu es là, dans mon poing, dans mes bras.
Tu es là, ça y est, tu es là, tu ris de moi déjà.
T'es là, ça y est, t'es là. Au nom de quoi déjà ?
Noms de dieux, poulagas, ta mère etcaetera...
Dans un sourire obscène, dans les eaux de la Seine,
D'Alger à la Lorraine, ça y est, tu la ramènes.
Tu es là, ça y est, tu es là, dans mon poing, dans mes bras.
Je n'entends déjà plus ma voix, sous ton rire et tes pas.
Du métro aux commissariats, la peur est ton appât.
Tu es là, ça y est, tu es là. Au nom de quoi déjà ?
Tu es là, ça y est, ça y est, tu nous mènes.
Il faut que ça gueule, il faut que ça craigne.
Plus on joue ton jeu, plus on a de beignes,
C'est la loi des crosses, il faut que ça saigne.
Même la raison va te couronner reine
Au pied de l'instinct, au nom de l'hygiène.
Les fous de l'action aiment ta dégaine.
Il n'y a plus de gêne où y a de la haine.
Tu es là, ça y est, tu es là, aux grands maux les gros bras.
Je ne reconnais plus ma voix quand tu ris aux éclats.
Tu es là, ça y est, tu es là, je te suis pas à pas.
Tu es là, ça y est, tu es là. Au nom de quoi déjà ?
Ma douceur, ma femelle, délivre-moi du mal,
Attache-moi dans ton lit, chasse mes idées sales.
Que tes baisers m'assomment, que tes jambes m'enchaînent,
Donne-moi goût à ta vie, que meurt en moi la haine.
Donne du goût à ma vie, que meurt en moi la haine.
Deuxième voix et traduction : Rachid Taha.
Bonus : La haine est là (même source).
T'es là, ça y est, t'es là, je te connais déjà.
Par ici et par là, je t'ai vue au combat.
T'es là, ça y est, t'es là. A qui la faute ? A quoi ?
Pourquoi c'est pas l'amour ? Pourquoi c'est encore toi?
Tu es là, ça y est, tu es là, dans mon poing, dans mes bras.
Tu es là, ça y est, tu es là, tu ris de moi déjà.
T'es là, ça y est, t'es là. Au nom de quoi déjà ?
Noms de dieux, poulagas, ta mère etcaetera...
Dans un sourire obscène, dans les eaux de la Seine,
D'Alger à la Lorraine, ça y est, tu la ramènes.
Tu es là, ça y est, tu es là, dans mon poing, dans mes bras.
Je n'entends déjà plus ma voix, sous ton rire et tes pas.
Du métro aux commissariats, la peur est ton appât.
Tu es là, ça y est, tu es là. Au nom de quoi déjà ?
Tu es là, ça y est, ça y est, tu nous mènes.
Il faut que ça gueule, il faut que ça craigne.
Plus on joue ton jeu, plus on a de beignes,
C'est la loi des crosses, il faut que ça saigne.
Même la raison va te couronner reine
Au pied de l'instinct, au nom de l'hygiène.
Les fous de l'action aiment ta dégaine.
Il n'y a plus de gêne où y a de la haine.
Tu es là, ça y est, tu es là, aux grands maux les gros bras.
Je ne reconnais plus ma voix quand tu ris aux éclats.
Tu es là, ça y est, tu es là, je te suis pas à pas.
Tu es là, ça y est, tu es là. Au nom de quoi déjà ?
Ma douceur, ma femelle, délivre-moi du mal,
Attache-moi dans ton lit, chasse mes idées sales.
Que tes baisers m'assomment, que tes jambes m'enchaînent,
Donne-moi goût à ta vie, que meurt en moi la haine.
Donne du goût à ma vie, que meurt en moi la haine.
Deuxième voix et traduction : Rachid Taha.
vendredi 11 juillet 2008
"When the pawn...

...hits the conflicts he thinks like a king
What he knows throws the blows when he goes to the fight
And he'll win the whole thing before he enters the ring
There's no body to batter when your mind is your might
So when you go solo, you hold your own hand
And remember that depth is the greatest of heights
And if you know where you stand, then you know where to land
And if you fall it won't matter, cuz you'll know that you're right"
Réputé comme le titre le plus long (un poème écrit par Fiona Apple suite à une mauvaise critique de son premier et précédent album).
Fiona Apple - On the bound (When the pawn..., 1999).
Perte de repères.
Grant Lee Buffalo - Fuzzy (éponyme, 1993).
Extrait du premier album d'un groupe au nom étonnant, associant Grant et Lee, les 2 plus grands généraux américains opposés lors de la guerre de sécession américaine, et le Buffalo, symbole des Indiens.
Une version guitares saturées à l'occasion d'un concert radiodiffusé en 1996 :
Grant Lee Phillips (auteur, compositeur et chanteur du groupe) a entamé une carrière solo en 1999.
Extrait du premier album d'un groupe au nom étonnant, associant Grant et Lee, les 2 plus grands généraux américains opposés lors de la guerre de sécession américaine, et le Buffalo, symbole des Indiens.
Une version guitares saturées à l'occasion d'un concert radiodiffusé en 1996 :
Grant Lee Phillips (auteur, compositeur et chanteur du groupe) a entamé une carrière solo en 1999.
jeudi 10 juillet 2008
mercredi 9 juillet 2008
Everybody's gonna build their house on me.
Trees - Snail's lament (The garden of Jane Delawney, 1970).
Ordinary people.
Neil Young - Ordinary people (Chrome dreams II, 2007).
Histoire de revenants :
- le titre de l'album fait référence à un premier "Chrome dreams" enregistré en 1977 mais jamais publié, dont plusieurs chansons ont figuré ultérieurement sur d'autres disques et sont devenues des classiques du Canadien, de quoi penser que Chrome dreams aurait été un très grand album de Neil Young.
- Ordinary people était à l'inverse, selon Young, "a song without a home", un titre qui ne trouve pas sa place sur un disque. Il était déjà joué en concert en 1988, dans une version un peu plus courte :
Histoire de revenants :
- le titre de l'album fait référence à un premier "Chrome dreams" enregistré en 1977 mais jamais publié, dont plusieurs chansons ont figuré ultérieurement sur d'autres disques et sont devenues des classiques du Canadien, de quoi penser que Chrome dreams aurait été un très grand album de Neil Young.
- Ordinary people était à l'inverse, selon Young, "a song without a home", un titre qui ne trouve pas sa place sur un disque. Il était déjà joué en concert en 1988, dans une version un peu plus courte :
dimanche 6 juillet 2008
Association d'idées.
John Zorn & Masada - Gevurah (extrait d'un concert donné lors du festival "Warsaw Summer jazz days" en 1999, retransmis par une chaine télé polonaise, version originale sur "Bar Kokhba", 1996).
John Zorn est un musicien avant-gardiste (mot qui ne veut rien dire) américain extraordinairement prolifique, dont l'oeuvre est inspirée par la culture hébraïque, mais aussi le jazz, la musique punk, le métal... (c'est lui qui dirige Masada, une de ses créations, sur la vidéo).
Gevurah (traduisible par "force") est le 5ème sephiroth, l'une des 10 puissances créatrices énumérées par la Kabbale (interprétation mystique de la Torah, texte fondateur du judaïsme) dans sa tentative d'explication du mystère de la Création (je vais très bien, merci).
Tzadik (label créé par John Zorn).
John Zorn est un musicien avant-gardiste (mot qui ne veut rien dire) américain extraordinairement prolifique, dont l'oeuvre est inspirée par la culture hébraïque, mais aussi le jazz, la musique punk, le métal... (c'est lui qui dirige Masada, une de ses créations, sur la vidéo).
Gevurah (traduisible par "force") est le 5ème sephiroth, l'une des 10 puissances créatrices énumérées par la Kabbale (interprétation mystique de la Torah, texte fondateur du judaïsme) dans sa tentative d'explication du mystère de la Création (je vais très bien, merci).
Tzadik (label créé par John Zorn).
Who by fire.
Leonard Cohen - Who by fire (New skin for the old ceremony, 1974).
Une chanson inspirée par un passage d'une prière juive (U'Netaneh Tokef), relative à Rosh Hashanah, début de l'année juive mais aussi jour du jugement :
"On Rosh Hashanah will be inscribed and on Yom Kippur will be sealed how many will pass from the earth and how many will be created; who will live and who will die; who will die at his predestined time and who before his time; who by water and who by fire, who by sword, who by beast, who by famine, who by thirst, who by storm, who by plague, who by strangulation, and who by stoning. Who will rest and who will wander, who will live in harmony and who will be harried, who will enjoy tranquillity and who will suffer, who will be impoverished and who will be enriched, who will be degraded and who will be exalted."
Une version live (30 octobre 1993) :
Et une autre, non datée (fin des années 70, début des années 80 ?), assez étonnante (avec Sonny Rollins) :
Une chanson inspirée par un passage d'une prière juive (U'Netaneh Tokef), relative à Rosh Hashanah, début de l'année juive mais aussi jour du jugement :
"On Rosh Hashanah will be inscribed and on Yom Kippur will be sealed how many will pass from the earth and how many will be created; who will live and who will die; who will die at his predestined time and who before his time; who by water and who by fire, who by sword, who by beast, who by famine, who by thirst, who by storm, who by plague, who by strangulation, and who by stoning. Who will rest and who will wander, who will live in harmony and who will be harried, who will enjoy tranquillity and who will suffer, who will be impoverished and who will be enriched, who will be degraded and who will be exalted."
Une version live (30 octobre 1993) :
Et une autre, non datée (fin des années 70, début des années 80 ?), assez étonnante (avec Sonny Rollins) :
vendredi 4 juillet 2008
Soft.
Paolo Conte - Alle prese con una verde Milonga (Concerti, 1989).
Version originale sur "Paris Milonga" (1981).
Version originale sur "Paris Milonga" (1981).
jeudi 3 juillet 2008
I'm the driver of an underground train...
Come riding in the smoky dark, where you are mine, and I am yours.
King Crimson - Dr Diamond (Live in Pforzheim, Germany, march 31, 1974).
Ici précédé d'une impro "montée en pression", Dr Diamond est un titre qui ne figure sur aucun album studio de King Crimson : il faut attendre la sortie d'un coffret de 4 cd live ("The Great Deceiver", 1992) pour qu'il ressorte de l'oubli. Il était pourtant joué très fréquemment en concert pendant les années 73-74.
La version de Pforzheim est la plus tendue que je connaisse. Le bassiste-chanteur John Wetton est tellement chaud, après cette mise en pression, qu'il ne laisse pas David Cross finir l'introduction au violon. On peut aussi y voir une manifestation des tensions au sein du groupe (cf bonus juste en dessous).
Bonus : une version antérieure (23 juin 1973) où basse et batterie n'ont pas encore pris le pouvoir au sein du groupe, violon et guitare électrique s'expriment encore à leur guise.
King Crimson - Dr Diamond (Live in Pforzheim, Germany, march 31, 1974).
Ici précédé d'une impro "montée en pression", Dr Diamond est un titre qui ne figure sur aucun album studio de King Crimson : il faut attendre la sortie d'un coffret de 4 cd live ("The Great Deceiver", 1992) pour qu'il ressorte de l'oubli. Il était pourtant joué très fréquemment en concert pendant les années 73-74.
La version de Pforzheim est la plus tendue que je connaisse. Le bassiste-chanteur John Wetton est tellement chaud, après cette mise en pression, qu'il ne laisse pas David Cross finir l'introduction au violon. On peut aussi y voir une manifestation des tensions au sein du groupe (cf bonus juste en dessous).
Bonus : une version antérieure (23 juin 1973) où basse et batterie n'ont pas encore pris le pouvoir au sein du groupe, violon et guitare électrique s'expriment encore à leur guise.
mardi 1 juillet 2008
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